Le Club des 5A de Carcassonne au sujet de la 350 L3

https://clubdes5a.blogspot.com/2024/07/club5a-moto-de-legende-la-350.html

ASSOCIATION AUDOISE DES AMATEURS D'AUTOMOBILES ANCIENNES BP 563 11009 CARCASSONNE


Ben si en plus, les carters étaient poreux et les moteurs cassaient à 500km...

Je ne vois dans cet article que le bête recopiage des articles de l'époque écris par des journaleux peu objectifs et sponsorisés par les marques japonaises.
c'est en prétendant être bons juges qu'ils ont détruis l'avenir de cette machine. Vous connaissez le principe de la délation ; dites du mal de quelqu'un ou de quelque chose même après avoir apporté les preuves du non fondé des accusations dans l'esprit des gens il reste toujours le doute !! c'est notre fameux" il n'y a pas de fumée sans feu"

à tous,

Tout à fait d'accord avec Vroumvroum. Une 350 Motobecane entre vos mains et le plaisir de la piloter est un réel plaisirs.
La critique (venin) selon les dires ne sont pas constructifs.
Essayez là avant et vous pourrez raconter votre ressenti.

Sur ce site, une photo de cette 350 appartient à notre groupe.

Motobecanement votre

Depuis 1870, porter critique sur la France, son industrie, son armée etc... est considéré par un certain nombre de nos concitoyens comme un crime de haute trahison. Pourtant pour avoir pu travailler avec nombre d'européens et américains, nous sommes loins d'être parfaits et beaucoup sont largement meilleurs que nous et dans beaucoup de domaines. Je veux dire que si nous acceptions la critique sans prendre ombrage mais en l'utilisant pour nous améliorer, peut être que celles qui sont faites ne ressembleraient pas à des mises à mort.

La génèse de cette 350 a été plus que problématique, vu l'ambiance très gauloise qui semble avoir régné au sein de la marque, la description de P. Barrabès est à ce sujet éloquente. Le résultat est une machine qui allie le meilleur avec le pire, mais surtout qui n'a pas le caractère qu'attendait le marché. La L3 a loupé sa cible, ce qui ne veut pas dire que c'est une mauvaise moto. A la même époque Suzuki sort les 380 et 550 GT motos de tourisme, à l'esthétique et à la finition très soignées qui se vendront beaucoup plus discrètement que les triples Kawa.
La presse et le marché français déjà habitués au standards japonais attendaient de Motobécane, une machine parfaite à tous les points de vue, esthétique, finition, équipements, performances, plaisir et simplicité de conduite et d'entretien. La désillusion a été le ferment des articles au vitriol de la presse, et la mauvaise réputation dure encore.

Laverda, Ducati, Moto-Guzzi ou BMW se sont adaptés dans les années 70 sans perdre leur personnalité, Triumph, BSA, Norton, Bultaco, Ossa, Montesa, et Motobécane sont restés sur leurs certitudes et ont rapidement disparus.

A la fin des années 70, j'ai rayé le réservoir de ma LT3; la couche de peinture orange DDE faisait presqu'un millimètre d'épaisseur! Certainement pour l'empêcher de rouiller ?! Z'avaient un concept de "Qualité" un peu spécial chez Motobécane.

Vous avez le droit d'aimer la 350 et même de la monter au pinacle (mais êtes vous réellement objectifs), mais d'autres ont le droit de ne pas l'aimer et de la critiquer.

Re,

Je ne dis pas qu'elle est irréprochable, cette 350 a le mérite d'exister et essayons d'être positif.

Seule les propriétaires peuvent ou pas l’apprécier.

Motobecanement votre

bon ben le gars qui a écrit ça ne savait vraisemblablement pas de quoi il parlait, outre les carters poreux, les casses moteurs à 500 km, il parle aussi d'une consommation de 9 litres aux 100 sur autoroutes et nationales ................. va falloir qu'il me dise où étaient les autoroutes en 68 ! même en 76 quand j'ai remonté ma LT3 de Bretagne a Paris j'ai emprunté l'autoroute en arrivant a Orgeval (78) soit après plus de 500 km sur les 550 à effectuer ................. c'est un condensé d'idées reçues de on dit de ragots le tout saupoudré de photos empruntées ici et là on pourrait presque croire que ça a été fait par une IA
Pour apporter ma touche personnelle en 1977, j'ai essayé cette 350 prêtée par un ami d'un ami et après cet essai j'ai choisi ma 500 Kawa (sans l'avoir essayé à l'époque c'était pas dans les usages) pour diverses raisons ................. je dois dire que mon choix n'a pas été judicieux car je me suis séparé de cette 500 très très vite, mais je n'avais pas aimé la 350 c'est tout ce dont je me souviens ............. peut être pas fais assez de km à son guidon va savoir ............... car oui ce n'est pas en faisant 500m qu'on peut savoir a quoi on a affaire ................. comme dit Jean Pierre pour pouvoir en parler, il faut en être propriétaire, mais aussi avoir empilé des bornes avec ce n'est qu'après de nombreux km que l'on peut en parler .................. je pense que Denis est une référence pour cette machine.

L'autoroute A7 existait déjà à cette époque, pour une fois les travaux ne sont pas partis de Paris vers la province, les premiers tronçons étant sur Marseille. L'autoroute  existait entre Montélimar Nord et Marseille dès 1966! En 1968 mon père achetait une Citroën ID20 (avec le nouveau moteur à 5 paliers) et après un rodage des plus scrupuleux, je me souvient d'une descente Montélimar Nord - Marseille à fond de quatrième ... Mais c'est une autre histoire.

"cette 350 a le mérite d'exister et essayons d'être positif." Tout à fait d'accord, elle constitue un parfait jalon pour mesurer la différence de niveau entre l'ancien premier producteur mondial de deux-roues motorisés que fut Motobécane et les nouveaux de l'époque qu'étaient les japonais. Les modèles à empattement long et à gros transferts étaient un début de réponse. Un restyling, une peinture plus luxueuse, un tableau de bord et des commodos à la japonaise auraient certainement rebattu les cartes.
Mais on ne refait pas l'histoire.

Je vois que tout le monde est d'accord !! et puis, depuis quand les clubs automobiles ont autorité sur 1 moto qu'ils ne connaissent assurément pas, qu'ils s'occupent de leurs brouettes poussives.