Motobécane - Le catalogue du siècle - Patrick Barrabès
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Motobécane - Le catalogue du siècle - Patrick Barrabès
Si vous êtes membre du Motobécane - Motoconfort Club de France, vous êtes au courant (lettre d'information #41), sinon et si vous êtes intéressé par la marque voici ce qui est annoncé pour le centenaire à paraitre bientôt:
Et la présentation de son ouvrage par l'auteur:
" Des nombreux ouvrages publiés sur Motobécane et Motoconfort un seul manquait à l’appel, un guide chronologique, un “catalogue des catalogues”, qui autour des nombreux documents publicitaires édités par la marque permettrait de cerner facilement un modèle, de le dater et de connaître son évolution.
Des années de longues recherches ont permis de remonter, avec la quasi-totalité des catalogues mondiaux, une chronologie dont le point de départ fut la rue Beaurepaire à Pantin. De quoi publier une « chaine de transmission » ou chaque modèle ou famille de modèle s’engraine à la suivante afin de faciliter, pour le lecteur, l’identification de sa propre machine et d’en suivre l’évolution par l’image. Une large part est consacrée aux productions mondiales, reflets d’une marque à l’influence planétaire.
1923 – 2023 ? Motobécane a déposé son dépôt de bilan en 1985 ? Pourtant, la production a continué sous le logo MBK. Yamaha faisait déjà partie intégrante de l’aventure. Aujourd’hui, de l’usine historique de Rouvroy, sortent toujours des motos. Elles portent dans leurs gènes la précision dans le détail venue des pays du levant et le savoir-faire technologique des ingénieurs français. Il était donc logique, en dernière partie de cet ouvrage, de rejoindre l’année 2023 ou l’histoire continue au guidon de ces belles picardes !
Au fil des pages de mes divers ouvrages consacrés à la marque Motobécane, vous avez pu découvrir le parcours technique, historique et commercial de chacun des nombreux modèles proposés à la clientèle (près de quatre cent cinquante, tout de même). Vous avez également découvert la préhistoire de la marque, ou comment quelques hommes d’exception se sont trouvés réunis par les hasards de la vie et les coups de pouce du destin, parfois très utiles. Vous avez pénétré les difficultés de la conception d’un modèle. Nous avons entrebâillé les tiroirs de l’inconnu et dévoilé les nombreux prototypes, parfois géniaux, souvent révolutionnaires. Les années 1980 nous ont permis, au guidon de la tri cylindre jaune, de ressentir la chute progressive de la marque, par la faute de choix inappropriés et de rachats douteux de marques moribondes. L’arrivée des Japonais de MBK/Yamaha a permis de terminer ces histoires bien réelles sous quelques rayons de soleil levant. Enfin, j’ai essayé de vous montrer quel a été le phénomène social Motobécane : cette industrie pas comme les autres qui compte, au moment de ses meilleures années, sept mille employés et un réseau de vingt mille concessionnaires. Pourtant, des divers ouvrages émanait un manque, un guide chronologique, un catalogue des catalogues, qui autour des nombreux documents publicitaires édités par la marque nous permettrait de cerner immédiatement tel modèle, de le dater et de connaître son évolution. C’est fait ! En cette année 2023, celle du centenaire, j’ai voulu profiter de l’acquis de décennies passées à rechercher ce que les non-initiés nomment des vieux papiers. Il est maintenant facile de remonter une chronologie dont le point de départ fut la rue Beaurepaire à Pantin, car la quasi-totalité des catalogues mondiaux est répertoriée. Il est bien sûr impossible d’en publier l’intégralité, le but n’étant pas de produire un Larousse. Je préfère parler de « chaîne de transmission » où chaque modèle ou famille de modèles s’enchaîne à la suivante afin de faciliter, pour le lecteur, l’identification de sa propre machine et d’en suivre l’évolution par l’image. J’ai toutefois consacré une large part aux productions mondiales, reflets d’une marque à l’influence planétaire. 1923-2023 ? Motobécane a déposé son bilan en 1985 ? Pourtant, la production, loin de s’arrêter lors de cette date fatidique, a continué sous le logo MBK, Société nouvelle Motobécane. Yamaha faisait déjà partie intégrante de l’aventure. Aujourd’hui, de l’usine historique de Rouvroy, sortent des motos portant dans leurs gènes la précision dans le détail apportée par les Japonais et le savoir-faire technologique des ingénieurs français. Il était donc logique pour moi, en dernière partie de cet ouvrage, de rejoindre l’année 2023 avec un petit tour au guidon de ces belles... picardes !
Et la présentation de son ouvrage par l'auteur:
" Des nombreux ouvrages publiés sur Motobécane et Motoconfort un seul manquait à l’appel, un guide chronologique, un “catalogue des catalogues”, qui autour des nombreux documents publicitaires édités par la marque permettrait de cerner facilement un modèle, de le dater et de connaître son évolution.
Des années de longues recherches ont permis de remonter, avec la quasi-totalité des catalogues mondiaux, une chronologie dont le point de départ fut la rue Beaurepaire à Pantin. De quoi publier une « chaine de transmission » ou chaque modèle ou famille de modèle s’engraine à la suivante afin de faciliter, pour le lecteur, l’identification de sa propre machine et d’en suivre l’évolution par l’image. Une large part est consacrée aux productions mondiales, reflets d’une marque à l’influence planétaire.
1923 – 2023 ? Motobécane a déposé son dépôt de bilan en 1985 ? Pourtant, la production a continué sous le logo MBK. Yamaha faisait déjà partie intégrante de l’aventure. Aujourd’hui, de l’usine historique de Rouvroy, sortent toujours des motos. Elles portent dans leurs gènes la précision dans le détail venue des pays du levant et le savoir-faire technologique des ingénieurs français. Il était donc logique, en dernière partie de cet ouvrage, de rejoindre l’année 2023 ou l’histoire continue au guidon de ces belles picardes !
Au fil des pages de mes divers ouvrages consacrés à la marque Motobécane, vous avez pu découvrir le parcours technique, historique et commercial de chacun des nombreux modèles proposés à la clientèle (près de quatre cent cinquante, tout de même). Vous avez également découvert la préhistoire de la marque, ou comment quelques hommes d’exception se sont trouvés réunis par les hasards de la vie et les coups de pouce du destin, parfois très utiles. Vous avez pénétré les difficultés de la conception d’un modèle. Nous avons entrebâillé les tiroirs de l’inconnu et dévoilé les nombreux prototypes, parfois géniaux, souvent révolutionnaires. Les années 1980 nous ont permis, au guidon de la tri cylindre jaune, de ressentir la chute progressive de la marque, par la faute de choix inappropriés et de rachats douteux de marques moribondes. L’arrivée des Japonais de MBK/Yamaha a permis de terminer ces histoires bien réelles sous quelques rayons de soleil levant. Enfin, j’ai essayé de vous montrer quel a été le phénomène social Motobécane : cette industrie pas comme les autres qui compte, au moment de ses meilleures années, sept mille employés et un réseau de vingt mille concessionnaires. Pourtant, des divers ouvrages émanait un manque, un guide chronologique, un catalogue des catalogues, qui autour des nombreux documents publicitaires édités par la marque nous permettrait de cerner immédiatement tel modèle, de le dater et de connaître son évolution. C’est fait ! En cette année 2023, celle du centenaire, j’ai voulu profiter de l’acquis de décennies passées à rechercher ce que les non-initiés nomment des vieux papiers. Il est maintenant facile de remonter une chronologie dont le point de départ fut la rue Beaurepaire à Pantin, car la quasi-totalité des catalogues mondiaux est répertoriée. Il est bien sûr impossible d’en publier l’intégralité, le but n’étant pas de produire un Larousse. Je préfère parler de « chaîne de transmission » où chaque modèle ou famille de modèles s’enchaîne à la suivante afin de faciliter, pour le lecteur, l’identification de sa propre machine et d’en suivre l’évolution par l’image. J’ai toutefois consacré une large part aux productions mondiales, reflets d’une marque à l’influence planétaire. 1923-2023 ? Motobécane a déposé son bilan en 1985 ? Pourtant, la production, loin de s’arrêter lors de cette date fatidique, a continué sous le logo MBK, Société nouvelle Motobécane. Yamaha faisait déjà partie intégrante de l’aventure. Aujourd’hui, de l’usine historique de Rouvroy, sortent des motos portant dans leurs gènes la précision dans le détail apportée par les Japonais et le savoir-faire technologique des ingénieurs français. Il était donc logique pour moi, en dernière partie de cet ouvrage, de rejoindre l’année 2023 avec un petit tour au guidon de ces belles... picardes !
Patrick Barrabès"
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